PSI Stories
Biomasse als Stütze der Energiewende
Mit 80 Teilnehmerinnen und Teilnehmern fand am 2. Dezember am Paul Scherrer Institut PSI die erste Jahreskonferenz des Kompetenzzentrums des Bundes für Bioenergie (SCCER BIOSWEET) statt. Das im Rahmen des Aktionsplans Energieforschung Schweiz gegründete Kompetenzzentrum definierte in der Tagung die Ziele, Strategien und Positionierung der Bioenergie-Forschung vor dem Hintergrund der neuen schweizerischen Energiepolitik.Cette actualité n'existe qu'en allemand.
Le SwissFEL est prêt pour être installé
Au cours des quatre dernières années, des chercheurs du PSI ont développé et soigneusement testé sur le banc d’essai « SwissFEL Injecteur », des technologies-clé pour le laser à rayons X SwissFEL. Le programme de recherche est maintenant achevé. L’installation du nouveau grand instrument de recherche démarre début 2015.
Ist dies der richtige Zeitpunkt für ein waghalsiges Experiment?
PSI-Direktor Joël Mesot hat sich heute in der Aargauer Zeitung mit einem Gastkommentar zur Debatte um die Ecopop-Initiative geäussert. Lesen Sie hier seinen vollständigen Text.Cette actualité n'existe qu'en allemand.
Das Kompetenzzentrum Speicherung zieht nach einem Jahr Bilanz
Am vergangenen 4. November fand am Paul Scherrer Institut das erste Jahressymposium des Kompetenzzentrum des Bundes für Forschung zu Strom- und Wärmespeicherung (SCCER Heat and Electricity Storage) statt. Vertreter aus den beteiligten Forschungsgruppen sowie aus Industrieunternehmen mit einem Bezug zum Thema Speicherung berichteten in ihren Vorträgen über die jüngsten Fortschritte auf dem Gebiet der Wärme- und Stromspeicherung in der Schweiz. Die Tagung zeigte die Intensität der Transformationen, die von der Energiestrategie 2050 in Gang gesetzt worden sind.Cette actualité n'existe qu'en allemand.
Smog hivernal : les cheminées sont pires que les voitures
Pendant les jours de smog hivernal, la combustion du bois représente en Suisse la principale source de particules fines carbonées, délétères pour la santé. C’est ce que montre une vaste étude, menée dans notre pays sur la pollution aux poussières fines. Elle a duré cinq ans et a été conduite par des scientifiques de l’Institut Paul Scherrer (PSI), de l’Université de Berne et de l’EPF Zurich.
Un grand instrument de recherche disparaît dans la forêt
Dans la forêt de Würenlingen, le bâtiment du nouveau grand instrument de recherche du PSI SwissFEL n’a pas profité longtemps du soleil. Il est actuellement en train de disparaître sous une levée de terre. Ce comblement est une mesure parmi beaucoup d’autres, visant une intégration aussi réussie que possible de l’installation dans son environnement.
Cérémonie : la pose de la première pierre de l’ESS souligne son importance scientifique
Aujourd’hui, plusieurs centaines de représentants du monde scientifique, venus de différents pays européens, se sont rassemblé sur le chantier de la source européenne de spallation (European Spallation Source ESS) à Lund, en Suède, pour la cérémonie de pose de la première pierre de l’ESS. Cet événement marque la pose des fondations de cette nouvelle installation, dont la construction a récemment démarré, mais aussi celle d’une nouvelle phase dans la recherche scientifique européenne.
La dernière pièce du puzzle
En tant que post-doctorante, Julia H. Smith travaille au développement de l'un des détecteurs destinés au laser à rayons X SwissFEL. Ces derniers sont en quelque sorte les yeux du futur grand instrument du PSI. La chercheuse a de bonnes chances d'accompagner son détecteur jusqu'à son utilisation dans la nouvelle installation pendant qu'elle sera encore au PSI. Mais ce qui compte pour moi, plus encore que de vivre les premières expériences, c'est d'assimiler le plus de connaissances possibles pendant mon post-doctorat, dit-elle. Car pour la suite, Julia Smith a bien l'intention de rester dans le domaine des détecteurs et du développement de technologies, que ce soit dans l'industrie ou dans un autre institut de recherche.
Des colosses pour commander de minuscules particules
Dans un accélérateur de particules, ce sont les aimants qui tirent les ficelles : si protons et électrons gardent le cap, c’est en effet grâce à eux. Ces aimants n’ont toutefois pas grand-chose en commun avec ceux qui garnissent la porte de notre réfrigérateur. Au PSI, ils sont nombreux à peser bien plus lourd que ledit réfrigérateur. Et malgré leur puissance, ce sont des chefs-d’uvre de précision.
Il date des années 1980, mais il est toujours aussi fiable
L’origine du faisceau de protons au PSI est un accélérateur linéaire au look rétro. Ce modèle charismatique est baptisé Cockcroft-Walton, du nom de l’inventeur du principe. Depuis 1984, il fournit la première étape d’accélération des protons, qui sont ensuite amenés dans l’accélérateur circulaire à une vitesse équivalant à 80% de la vitesse de la lumière. Depuis des décennies, c’est ici qu’est généré un faisceau de protons remarquable qui, grâce à des améliorations continues, détient même depuis 1994 le record du monde du faisceau le plus performant.