Environnement
La cause de l’extrême pollution atmosphérique nocturne à New Dehli a été élucidée
Des chercheurs du PSI ont découvert ce qui cause la forte pollution atmosphérique nocturne à New Dehli.
Faire voler des avions de manière durable
Voler sans empreinte CO2 – le PSI et l'entreprise Metafuels AG développent une nouvelle technologie pour la production de carburant aviation durable.
Collecter des carottes de glace avant qu’il ne soit trop tard
Theo Jenk, chercheur au PSI, évoque les défis de la recherche sur les carottes de glace à l’ère du changement climatique.
Les chasseurs d’aérosols du Jungfraujoch
Le Jungfraujoch est sis dans un paysage unique, mais c’est aussi un endroit idéal pour étudier l’influence des aérosols sur notre climat.
Une carte de la pollution par aérosols en Europe peut servir la santé publique
Des chercheurs ont déterminé les sources de pollution particulaire sur 22 sites en Europe.
L’amplification de la lumière accélère les réactions chimiques dans les aérosols
Une prise en compte dans de futurs modèles climatiques est importante.
Sauvegarder la mémoire de la glace
Une équipe internationale de recherche, à laquelle participe le PSI, se hâte de conserver des carottes de glace pour la postérité.
«Le changement climatique ne peut être appréhendé que régionalement»
Margit Schwikowski dirige le Laboratoire de chimie de l’environnement du PSI. Dans un entretien, elle explique le rôle des aérosols dans le changement climatique.
Mission Ice Memory: un franc succès
Lors de son expédition au massif du Mont-Rose, l’équipe internationale d’Ice Memory a prélevé deux carottes de glace d’une longueur de plus de 80 mètres au Colle Gnifetti.
La mémoire glaciale du mont Rose
La prochaine mission pour la conservation de l’archive climatique des Alpes valaisannes a commencé: des chercheurs mettent le cap sur le Colle Gnifetti dans le massif du Mont-Rose pour le projet Ice Memory.
Formation d’aérosols dans les nuages
Des chercheurs du PSI sont les premiers à montrer comment certaines réactions chimiques dans les nuages peuvent influencer le climat de la planète.
Les particules fines sont plus dangereuses que prévu
Un examen précis de minuscules particules en suspension met en évidence le mode d’apparition de certains composés nocifs pour la santé.
Quelles sont les particules fines les plus dangereuses pour la santé?
La nocivité des particules fines dépend autant de leur composition que de leur quantité. C’est ce que montrent des chercheurs du PSI dans une nouvelle étude. Par ailleurs, des expériences et des modélisations ont montré que c’est surtout dans les agglomérations que la charge de poussières fines nocives pour la santé est particulièrement élevée.
SwissFEL: la mégachile des murailles s’y sent comme un poisson dans l’eau
En 2013, lors de la construction du SwissFEL, quelque cinq hectares de forêt ont été défrichés et réaménagés afin de servir de nouvel habitat pour la faune et la flore. Des biologistes et des ingénieurs forestiers viennent de tirer un bilan intermédiaire du succès de ce projet de renaturation. Et ils sont enthousiastes.
L’acide iodique impliqué dans la formation de nuages en Arctique
Une équipe de recherche internationale a identifié un nouveau facteur qui favorise la formation de particules de poussières fines dans l'Arctique. Il s'agit de l'acide iodique, un composé chimique qui n'a jamais été mesuré dans la région auparavant.
Détecter les sources radioactives dans le transport de marchandises
Le PSI opère régulièrement des contrôles de radioactivité sur des camions à l’aide d’un portique de détection mobile, sur mandat de l’Office fédéral de la santé publique. Sa mission: détecter les sources de radiation orphelines.
Pour la première fois, des réactions chimiques ont été observées directement dans les particules fines
Des chercheurs de l’Institut Paul Scherrer PSI ont développé une nouvelle méthode pour analyser les particules fines de manière encore plus détaillée. Elle leur a permis de réfuter la doctrine selon laquelle les molécules contenues dans les poussières fines ne subissent plus de réactions chimiques parce qu’elles font partie de la phase condensée.
Treize mois en Arctique
Le 20 septembre 2019 un projet de recherche du PSI sur la chimie de l’atmosphère embarquera à bord du brise-glace Polarstern. Julia Schmale, chercheuse, évoque l’expédition et explique en quoi consistera sa participation.
La recherche au-dessus des nuages
Au Jungfraujoch, les scientifiques du PSI étudient les particules fines. Et ils doivent s’accommoder du fait que le corps humain n’est pas conçu pour vivre à 3500 mètres d’altitude.
En plein air et dans le smog
Les chercheurs du PSI forent, en haute montagne, dans des glaciers millénaires et analysent, à Delhi en Inde, les concentrations de poussières fines les plus élevées du monde. Ils contribuent ainsi à élucider les questions globales liées au changement climatique et à limiter la pollution atmosphérique.