Informations Complémentaires
Vous trouverez ici, par ordre chronologique, des informations complémentaires sur le thème de la protonthérapie au CPT de PSI.
Protonthérapie: une histoire à succès qui a débuté il y a 25 ans
Le 25 novembre 1996, le Centre de protonthérapie du PSI a pour la première fois traité un patient cancéreux au moyen de la technique du spot scanning, une première mondiale.
Première: protonthérapie contre le cancer du poumon
Première à l’Institut Paul Scherrer PSI: le 9 novembre 2021, une patiente atteint d’un cancer du poumon a été irradiée avec des protons.
«Notre objectif, à terme, est de comprendre comment des maladies se déclarent dans les cellules individuelles»
Les techniques modernes d’imagerie et de séquençages, combinées à l’apprentissage automatique, offrent d’innombrables possibilités inédites aux chercheurs pour scruter l’intérieur des cellules avec une précision jamais vue jusqu’ici. G.V. Shivashankar, directeur d’un laboratoire au PSI, décrit comment les données peuvent être combinées pour trouver des réponses à certaines questions urgentes.
Nouvelle méthode ultrarapide de traitement du cancer
Des chercheurs au Centre de protonthérapie du PSI ont testé pour la première fois une irradiation protonique ultrarapide et fortement dosée. Cette nouvelle méthode FLASH expérimentale pourrait révolutionner le traitement du cancer par radiothérapie.
Feu à volonté sur les tumeurs
Dans les stations de traitement du Centre de protonthérapie du PSI, les tumeurs peuvent être irradiées avec précision depuis toutes les directions. Un graphique interactif explique comment les protons atteignent le corps à partir de leur source pour déclencher l'ablation du tissu tumoral.
«Il est important de poursuivre les recherches»
La protonthérapie est complexe et plus coûteuse que la radiothérapie conventionnelle, mais sa précision reste inégalée lorsqu’il s’agit de traiter des tumeurs. An interview avec Damien Weber, directeur du Centre de protonthérapie (CPT).
Bombarder les cellules cancéreuses
A l’Institut Paul Scherrer PSI, on administre un traitement unique en Suisse à certains patients cancéreux. Bombarder les tumeurs de protons permet de les éliminer, et ce avec plus de précision qu’aucune autre forme d’irradiation.
Sa passion, ce sont les enfants
Beate Timmermann a mis en place, au PSI, un programme de protonthérapie pour enfants cancéreux, tout en élevant son fils. Aujourd'hui, elle dirige le Centre d'hadronthérapie au centre oncologique allemand Westdeutsches Protonentherapiezentrum (WPE) d'Essen. Elle est considérée comme l'une des meilleures expertes de ce domaine.
Inauguration: technologie de pointe contre le cancer
La protonthérapie permet d'irradier certaines tumeurs de manière particulièrement précise, tout en ménageant de manière optimale les tissus sains environnants. En Suisse, ce type d'irradiation n'est possible qu'au PSI. Dans le cadre d'un projet commun avec l'Hôpital universitaire de Zurich et l'Université de Zurich, le PSI a élargi ses capacités avec une station de traitement ultramoderne de 270 tonnes: la nouvelle Gantry 3.
Lausanne-Villigen: un aller-retour très spécial
Nulle part ailleurs on n’a irradié autant de tumeurs oculaires avec des protons qu’au PSI. Mais avant de se rendre à Villigen, les patients qui se préparent à recevoir ce traitement doivent passer chez Ann Schalenbourg, à l’Hôpital ophtalmique Jules-Gonin de Lausanne. La collaboration entre l’hôpital et le PSI existe depuis plus de trente ans. Elle est unique au monde et permet à la plupart des malades de sauver leur œil atteint.