Décoller avec du kérosène durable
Dans le monde entier, les scientifiques travaillent à trouver et à optimiser de nouveaux moyens de produire du carburant sans impact sur le climat. Au PSI, ils poursuivent une approche prometteuse en commun avec l’industrie.
S’attaquer à la racine d’un problème de santé global
Imad El Haddad analyse la composition chimique et l’impact sur la santé des particules fines au Center for Energy and Environmental Sciences de l’Institut Paul Scherrer PSI.
Une promesse complexe
Une aviation climatiquement neutre n’implique pas seulement de réduire les émissions des vols. Une étude du PSI analyse ce qui sera nécessaire pour atteindre cet objectif à long terme.
Les sources du smog à Beijing ont été identifiées
Des scientifiques du PSI ont identifié les sources du smog à Beijing. Certaines d’entre elles sont très éloignées de la capitale chinoise.
Können Aerosole die Erderwärmung stoppen?
Partikel in die Stratosphäre injizieren und damit die Erde kühlen? PSI-Forscher Markus Ammann äussert sich im Interview kritisch zu umstrittenem solarem Geoengineering.
Comment rendre l’air de New Dehli plus propre?
Des scientifiques du PSI sont sur la piste des aérosols pathogènes en Inde.
L’influence des arbres sur la formation des nuages
Des chercheurs du PSI ont déterminé plus précisément un facteur de la formation des nuages, resté ignoré jusque-là. Leurs travaux pourraient permettre d’améliorer les prévisions climatiques.
La cause de l’extrême pollution atmosphérique nocturne à New Dehli a été élucidée
Des chercheurs du PSI ont découvert ce qui cause la forte pollution atmosphérique nocturne à New Dehli.
Les chasseurs d’aérosols du Jungfraujoch
Le Jungfraujoch est sis dans un paysage unique, mais c’est aussi un endroit idéal pour étudier l’influence des aérosols sur notre climat.
Des niveaux de pollution extrêmes enregistrés en Arctique
Des données surprenantes sur les polluants dans l'hémisphère nord
Une carte de la pollution par aérosols en Europe peut servir la santé publique
Des chercheurs ont déterminé les sources de pollution particulaire sur 22 sites en Europe.
L’amplification de la lumière accélère les réactions chimiques dans les aérosols
Une prise en compte dans de futurs modèles climatiques est importante.
Réchauffement climatique: une cartographie des aérosols en Arctique
Pour mieux comprendre l’évolution du climat et développer des mesures efficaces contre la pollution, des chercheurs de l’EPFL et du PSI ont étudié les aérosols présents de la Russie au Canada.
Retirer efficacement du CO2 de l’atmosphère
S’il est minutieusement planifié, le captage du CO2 représente une possibilité technique efficace.
«Sans ces technologies, nous aurons du mal à atteindre nos objectifs climatiques»
Pour la neutralité climatique, l’utilisation de technologies qui retirent du CO2 de l’atmosphère est nécessaire.
Formation d’aérosols dans les nuages
Des chercheurs du PSI sont les premiers à montrer comment certaines réactions chimiques dans les nuages peuvent influencer le climat de la planète.
Les particules fines sont plus dangereuses que prévu
Un examen précis de minuscules particules en suspension met en évidence le mode d’apparition de certains composés nocifs pour la santé.
L’acide iodique impliqué dans la formation de nuages en Arctique
Une équipe de recherche internationale a identifié un nouveau facteur qui favorise la formation de particules de poussières fines dans l'Arctique. Il s'agit de l'acide iodique, un composé chimique qui n'a jamais été mesuré dans la région auparavant.
Pour la première fois, des réactions chimiques ont été observées directement dans les particules fines
Des chercheurs de l’Institut Paul Scherrer PSI ont développé une nouvelle méthode pour analyser les particules fines de manière encore plus détaillée. Elle leur a permis de réfuter la doctrine selon laquelle les molécules contenues dans les poussières fines ne subissent plus de réactions chimiques parce qu’elles font partie de la phase condensée.
Treize mois en Arctique
Le 20 septembre 2019 un projet de recherche du PSI sur la chimie de l’atmosphère embarquera à bord du brise-glace Polarstern. Julia Schmale, chercheuse, évoque l’expédition et explique en quoi consistera sa participation.
La recherche au-dessus des nuages
Au Jungfraujoch, les scientifiques du PSI étudient les particules fines. Et ils doivent s’accommoder du fait que le corps humain n’est pas conçu pour vivre à 3500 mètres d’altitude.
En plein air et dans le smog
Les chercheurs du PSI forent, en haute montagne, dans des glaciers millénaires et analysent, à Delhi en Inde, les concentrations de poussières fines les plus élevées du monde. Ils contribuent ainsi à élucider les questions globales liées au changement climatique et à limiter la pollution atmosphérique.
L'atmosphère à la lumière des rayons X
Des chercheurs du PSI ont développé une chambre d’expérience où ils reconstituent certains processus qui se jouent dans l’atmosphère et peuvent étudier ces derniers avec une précision inégalée grâce à de la lumière de type rayons X issue de la SLS. Lors de leurs premières expériences, ils ont étudié la formation du brome, qui joue un rôle essentiel dans la dégradation de l’ozone dans les couches inférieures de l’atmosphère. A l’avenir, cette nouvelle chambre d’expérience sera également mise à disposition de chercheurs d’autres disciplines scientifiques.
La chercheuse d'air
Julia Schmale, spécialiste en sciences de l'atmosphère, embarquera à bord d'une expédition maritime qui fera le tour de l'Antarctique en trois mois. Elle y cherchera l'air le plus propre qu'abrite encore notre planète.
Les substances qui rendent les nuages blancs
Les nuages sont faits de minuscules gouttelettes. Celles-ci se forment lorsque l’eau se condense sur de petites particules en suspension dans l’atmosphère appelées aérosols. Pour mieux comprendre l’apparition des aérosols des chercheurs ont à présent effectué une vaste simulation numérique fondée sur des données expérimentales étendues. Or cette simulation montre qu’outre l’acide sulfurique, deux autres substances jouent un rôle décisif dans l’apparition d’aérosols: certains composés organiques et l’ammoniac. Les résultats de recherche viennent d’être publiés dans Science, la revue spécialisée renommée.
Les mesures d’aujourd’hui renseignent sur les nuages du passé
Des chercheurs ont montré que la poussière fine pouvait se former dans l’atmosphère à partir de substances naturelles. Leurs résultats améliorent significativement nos connaissances sur les nuages de l’ère préindustrielle et ainsi, contribuent à une description plus précise de l’évolution passée et future du climat.
Les raisons de l'airpocalypse
Les origines de la pollution atmosphérique record qu’a connue la Chine à l’hiver 2013.Au début de l’année 2013, une cloche de brume gris-brun a recouvert durant plusieurs mois d’importantes portions du territoire chinois. La pollution due aux particules fines y était plusieurs fois plus importantes que les valeurs que l’on mesure d’habitude en Europe occidentale et aux Etats-Unis. Une équipe internationale de chercheurs, placée sous la conduite de l’Institut Paul Scherrer (PSI) et de l’Académie chinoise des sciences (Xi’an), révèle à présent les origines de cette airpocalypse. L’étude parue dans la revue « Nature » présente également des mesures qui permettraient de prévenir à l’avenir une nouvelle crise écologique de ce genre.
Le rôle des ingrédients forestiers dans la formation des nuages
Les scientifiques savent qu’en termes de bilan, les nuages contribuent au refroidissement du climat de notre planète. Mais ils ne connaissent pas l’étendue précise de cet effet.Une nouvelle étude de l’expérience CLOUD (Cosmics Leaving OUtdoor Droplets) au CERN fait à présent la lumière sur la toute première étape du processus de formation des nuages. Ce travail représente donc une importante contribution à une meilleure compréhension du lien entre nuages et climat. L’étude, menée sous la direction de chercheurs de l’Institut Paul Scherrer, paraît le 16 mai 2014 dans le magazine scientifique « Science ».
Mesures des aérosols dans le monde : des chercheurs du PSI contribuent à combler les lacunes
Les aérosols sont des particules de poussière fine en suspension dans l’atmosphère. Ils sont susceptibles d’influencer le climat : par absorption directe ou par diffusion du rayonnement solaire, ou encore en tant que germes de condensation pour la formation des nuages. Les climatologues s’efforcent de quantifier ces effets de manière exacte, et d’améliorer ainsi les modèles climatiques. Mais leur tâche est compliquée par le fait qu’il n’existe pas de réseau complet de stations de mesure d’aérosols, déployé sur l’ensemble du globe. Des chercheurs de l’Institut Paul Scherrer s’engagent pour permettre des mesures des aérosols en continu, là où les lacunes sont les plus importantes.
Expériences au sein du nuage : l’influence de la suie sur le climat
Martin Gysel, chercheur au PSI, se voit remettre un prestigieux subside européen (ERC Consolidator Grant), pour mener des analyses sur le rôle de la suie au niveau de la formation des nuages et du réchauffement de l’atmosphère.
Formation de particules dans l'atmosphère: l'expérience CLOUD au CERN déchiffre un nouveau composant du processus
Les gouttelettes qui forment les nuages se constituent à partir de minuscules particules, qui planent dans l’atmosphère. On ignore encore beaucoup de choses sur la manière dont ces dernières se forment. Récemment, et pour la première fois, on a réussi à déchiffrer la formation de particules à partir d’amines et d’acide sulfurique. Une avancée majeure pour la recherche en sciences atmosphériques.
Qualité de l’air de Paris : la métropole vaut mieux que sa réputation
Dans l’opinion publique, les métropoles sont souvent perçues comme d’importantes sources de pollution atmosphérique à aussi de leur périphérie à. Pourtant, selon les dernières études, ces villes de plusieurs millions d’habitants s’en sortent plutôt bien, au niveau écologique. Sur la base de mesures des aérosols réalisées à Paris, une équipe internationale de chercheurs, incluant des membres de l’Institut Paul Scherrer (PSI), confirme que les métropoles postindustrielles influencent beaucoup moins la qualité de l’air de leur environnement proche qu’on ne l’imagine.
Reconstruction du taux de plomb dans l'atmosphère de la Russie depuis 1680
Une équipe de chercheurs de l'Institut Paul Scherrer vient de reconstituer l'évolution des taux du plomb dans l'atmosphère de la Russie depuis l'année 1680. Les résultats de l'analyse montre une nette augmentation de la concentration du plomb dans l'atmosphère dés les années trente du 20ème siècle et une nette diminution à partir des années soixante-dix.
Klimaforschung am Teilchenbeschleuniger: Beschreibung der Aerosolneubildung muss revidiert werden
Vom Menschen verursachte Aerosole wirken in der Atmosphäre kühlend: Klimaforscher nehmen an, dass sie einen Grossteil des anthropogenen Treibhauseffekts kompensieren. Allerdings müssen sich die Partikel zum Teil in der Atmosphäre erst neu bilden. Diesen bisher kaum untersuchten Prozess nimmt das CLOUD-Experiment am CERN, an dem auch Forscher des Paul Scherrer Instituts beteiligt sind, unter die Lupe. Dabei wurde erstmals ein Teilchenbeschleuniger für die Untersuchung von Vorgängen in der Atmosphäre eingesetzt. Die Ergebnisse zeigen: die Beschreibungen der Aerosolbildung in Klimamodellen muss revidiert werden.Cette actualité n'existe qu'en allemand.
Auch Feinstaub altert
Ob fest, gelartig oder flüssig ist entscheidendFeinstaubpartikel tragen wesentlich zur Luftverschmutzung bei. Durch Reaktionen mit anderen Luftschadstoffen verändern sich diese Partikel mit der Zeit, sie altern. Der Alterungsprozess hängt wesentlich von der Luftfeuchte ab, und damit auch die Auswirkungen von Feinstaubpartikeln auf unsere Gesundheit und unser Klima. Dies zeigen gemeinsame Versuche von Wissenschaftlern des Paul Scherrer Instituts PSI und des Max-Planck-Instituts für Chemie sowie der Universität Bielefeld in Deutschland.Cette actualité n'existe qu'en allemand.
Die Massenkonzentration der isländischen Vulkanasche im europäischen Luftraum
Daten des Paul Scherrer Instituts von der Messtation auf dem Jungfraujoch liefern wichtige Erkenntnisse.Die Eruption des isländischen Vulkans Eyjafjallajokull hat das Fliegen in grossen Teilen Europas zum Erliegen gebracht. Die Entscheide beruhten vor allem auf Modellrechnungen. Wie gefährlich ist nun diese Vulkanasche für Flugzeuge?Cette actualité n'existe qu'en anglais et allemand.
Des nouvelles de la chambre à smog: les mécanismes de formation de particules dans l'atmosphère enfin décodés
Jusqu'à présent, la nucléation ou formation de particules dans l'atmosphère restait une énigme. Jusqu'à très récemment, les chercheurs pensaient que l'acide sulfurique était le facteur principal dans la formation des particules. Cependant, les analyses effectuées sur le terrain et en laboratoire ont toujours fourni des résultats contradictoires: on observait que les concentrations en acide sulfurique nécessaires à l'occurrence de la nucléation étaient nettement plus élevées en laboratoire que sur le terrain. Grâce à une expérience menée dans la chambre à smog, les chercheurs de l'Institut Paul Scherrer (PSI) ont trouvé l'origine de ces résultats contradictoires. Leur découverte constitue ainsi une avancée décisive dans la recherche sur le climat.
Une énigme résolue: l'origine de la formation de poussières fines dans l'air
Des chercheurs de l'Institut Paul Scherrer, de l'Université du Colorado et de 29 autres instituts de recherche de différents pays ont étudié la composition des constituants organiques des poussières fines dans différentes régions du monde et ont déterminé à chaque fois les substances à l'origine de leur formation. Ils ont ainsi pu élucider, pour la première fois, le rôle joué par certains composants des gaz d'échappement dans la formation des poussières fines.