Atmosphère
Formation de particules dans l'atmosphère: l'expérience CLOUD au CERN déchiffre un nouveau composant du processus
Les gouttelettes qui forment les nuages se constituent à partir de minuscules particules, qui planent dans l’atmosphère. On ignore encore beaucoup de choses sur la manière dont ces dernières se forment. Récemment, et pour la première fois, on a réussi à déchiffrer la formation de particules à partir d’amines et d’acide sulfurique. Une avancée majeure pour la recherche en sciences atmosphériques.
Qualité de l’air de Paris : la métropole vaut mieux que sa réputation
Dans l’opinion publique, les métropoles sont souvent perçues comme d’importantes sources de pollution atmosphérique à aussi de leur périphérie à. Pourtant, selon les dernières études, ces villes de plusieurs millions d’habitants s’en sortent plutôt bien, au niveau écologique. Sur la base de mesures des aérosols réalisées à Paris, une équipe internationale de chercheurs, incluant des membres de l’Institut Paul Scherrer (PSI), confirme que les métropoles postindustrielles influencent beaucoup moins la qualité de l’air de leur environnement proche qu’on ne l’imagine.
Reconstruction du taux de plomb dans l'atmosphère de la Russie depuis 1680
Une équipe de chercheurs de l'Institut Paul Scherrer vient de reconstituer l'évolution des taux du plomb dans l'atmosphère de la Russie depuis l'année 1680. Les résultats de l'analyse montre une nette augmentation de la concentration du plomb dans l'atmosphère dés les années trente du 20ème siècle et une nette diminution à partir des années soixante-dix.
Klimaforschung am Teilchenbeschleuniger: Beschreibung der Aerosolneubildung muss revidiert werden
Vom Menschen verursachte Aerosole wirken in der Atmosphäre kühlend: Klimaforscher nehmen an, dass sie einen Grossteil des anthropogenen Treibhauseffekts kompensieren. Allerdings müssen sich die Partikel zum Teil in der Atmosphäre erst neu bilden. Diesen bisher kaum untersuchten Prozess nimmt das CLOUD-Experiment am CERN, an dem auch Forscher des Paul Scherrer Instituts beteiligt sind, unter die Lupe. Dabei wurde erstmals ein Teilchenbeschleuniger für die Untersuchung von Vorgängen in der Atmosphäre eingesetzt. Die Ergebnisse zeigen: die Beschreibungen der Aerosolbildung in Klimamodellen muss revidiert werden.Cette actualité n'existe qu'en allemand.
Auch Feinstaub altert
Ob fest, gelartig oder flüssig ist entscheidendFeinstaubpartikel tragen wesentlich zur Luftverschmutzung bei. Durch Reaktionen mit anderen Luftschadstoffen verändern sich diese Partikel mit der Zeit, sie altern. Der Alterungsprozess hängt wesentlich von der Luftfeuchte ab, und damit auch die Auswirkungen von Feinstaubpartikeln auf unsere Gesundheit und unser Klima. Dies zeigen gemeinsame Versuche von Wissenschaftlern des Paul Scherrer Instituts PSI und des Max-Planck-Instituts für Chemie sowie der Universität Bielefeld in Deutschland.Cette actualité n'existe qu'en allemand.
Die Massenkonzentration der isländischen Vulkanasche im europäischen Luftraum
Daten des Paul Scherrer Instituts von der Messtation auf dem Jungfraujoch liefern wichtige Erkenntnisse.Die Eruption des isländischen Vulkans Eyjafjallajokull hat das Fliegen in grossen Teilen Europas zum Erliegen gebracht. Die Entscheide beruhten vor allem auf Modellrechnungen. Wie gefährlich ist nun diese Vulkanasche für Flugzeuge?Cette actualité n'existe qu'en anglais et allemand.
Des nouvelles de la chambre à smog: les mécanismes de formation de particules dans l'atmosphère enfin décodés
Jusqu'à présent, la nucléation ou formation de particules dans l'atmosphère restait une énigme. Jusqu'à très récemment, les chercheurs pensaient que l'acide sulfurique était le facteur principal dans la formation des particules. Cependant, les analyses effectuées sur le terrain et en laboratoire ont toujours fourni des résultats contradictoires: on observait que les concentrations en acide sulfurique nécessaires à l'occurrence de la nucléation étaient nettement plus élevées en laboratoire que sur le terrain. Grâce à une expérience menée dans la chambre à smog, les chercheurs de l'Institut Paul Scherrer (PSI) ont trouvé l'origine de ces résultats contradictoires. Leur découverte constitue ainsi une avancée décisive dans la recherche sur le climat.
Une énigme résolue: l'origine de la formation de poussières fines dans l'air
Des chercheurs de l'Institut Paul Scherrer, de l'Université du Colorado et de 29 autres instituts de recherche de différents pays ont étudié la composition des constituants organiques des poussières fines dans différentes régions du monde et ont déterminé à chaque fois les substances à l'origine de leur formation. Ils ont ainsi pu élucider, pour la première fois, le rôle joué par certains composants des gaz d'échappement dans la formation des poussières fines.