Environnement
Reconstruction du taux de plomb dans l'atmosphère de la Russie depuis 1680
Une équipe de chercheurs de l'Institut Paul Scherrer vient de reconstituer l'évolution des taux du plomb dans l'atmosphère de la Russie depuis l'année 1680. Les résultats de l'analyse montre une nette augmentation de la concentration du plomb dans l'atmosphère dés les années trente du 20ème siècle et une nette diminution à partir des années soixante-dix.
Klimaforschung am Teilchenbeschleuniger: Beschreibung der Aerosolneubildung muss revidiert werden
Vom Menschen verursachte Aerosole wirken in der Atmosphäre kühlend: Klimaforscher nehmen an, dass sie einen Grossteil des anthropogenen Treibhauseffekts kompensieren. Allerdings müssen sich die Partikel zum Teil in der Atmosphäre erst neu bilden. Diesen bisher kaum untersuchten Prozess nimmt das CLOUD-Experiment am CERN, an dem auch Forscher des Paul Scherrer Instituts beteiligt sind, unter die Lupe. Dabei wurde erstmals ein Teilchenbeschleuniger für die Untersuchung von Vorgängen in der Atmosphäre eingesetzt. Die Ergebnisse zeigen: die Beschreibungen der Aerosolbildung in Klimamodellen muss revidiert werden.Cette actualité n'existe qu'en allemand.
Russ lässt Himalaya-Gletscher schneller schmelzen
Forschende des Paul Scherrer Instituts haben zusammen mit Kollegen aus China und den USA gezeigt, dass die Klimaerwärmung nicht alleine für die Gletscherschmelze im Himalaya verantwortlich ist. Auch Russ, der auf dem Gletscher abgelagert wird, trägt dazu bei. Der Russ entsteht, wenn Öl oder Holz verbrannt werden; Wind transportiert ihn dann in den Himalaya.Cette actualité n'existe qu'en allemand.
Die Massenkonzentration der isländischen Vulkanasche im europäischen Luftraum
Daten des Paul Scherrer Instituts von der Messtation auf dem Jungfraujoch liefern wichtige Erkenntnisse.Die Eruption des isländischen Vulkans Eyjafjallajokull hat das Fliegen in grossen Teilen Europas zum Erliegen gebracht. Die Entscheide beruhten vor allem auf Modellrechnungen. Wie gefährlich ist nun diese Vulkanasche für Flugzeuge?Cette actualité n'existe qu'en anglais et allemand.
Des nouvelles de la chambre à smog: les mécanismes de formation de particules dans l'atmosphère enfin décodés
Jusqu'à présent, la nucléation ou formation de particules dans l'atmosphère restait une énigme. Jusqu'à très récemment, les chercheurs pensaient que l'acide sulfurique était le facteur principal dans la formation des particules. Cependant, les analyses effectuées sur le terrain et en laboratoire ont toujours fourni des résultats contradictoires: on observait que les concentrations en acide sulfurique nécessaires à l'occurrence de la nucléation étaient nettement plus élevées en laboratoire que sur le terrain. Grâce à une expérience menée dans la chambre à smog, les chercheurs de l'Institut Paul Scherrer (PSI) ont trouvé l'origine de ces résultats contradictoires. Leur découverte constitue ainsi une avancée décisive dans la recherche sur le climat.
Une énigme résolue: l'origine de la formation de poussières fines dans l'air
Des chercheurs de l'Institut Paul Scherrer, de l'Université du Colorado et de 29 autres instituts de recherche de différents pays ont étudié la composition des constituants organiques des poussières fines dans différentes régions du monde et ont déterminé à chaque fois les substances à l'origine de leur formation. Ils ont ainsi pu élucider, pour la première fois, le rôle joué par certains composants des gaz d'échappement dans la formation des poussières fines.
Décalage observé entre les températures
PubliCation au Geophysical Research Letters. De nouveaux résultats issus de la recherche en climatologie à partir de carottes de glace de l'Altaï en Sibérie. Ce qui est particulièrement remarquable, c'est que les températures reconstituées suivent le cycle d'évolution de l'activité solaire avec un retard de 10 à 30 ans.