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La première structure accélératrice du SwissFEL est achevée
La première structure accélératrice, destinée à l’accélérateur linéaire du SwissFEL, a été achevée au PSI. En tout, 104 structures comme celle-ci seront nécessaires pour que les électrons, qui génèreront des impulsions de rayon X, puissent être accélérés dans SwissFEL et atteindre l’énergie nécessaire. Ce composant résulte d’un usinage de haute précision et subit actuellement des tests d’alimentation sous haute puissance électrique.
Simultanément ferromagnétique et antiferromagnétique
Des chercheurs de l’Institut Paul Scherrer (PSI) ont fabriqué dans un matériau, le LuMnO3 de fines couches cristallines, à la fois ferromagnétiques et antiferromagnétiques. A la limite immédiate de l’interface vers le cristal de support, la couche de LuMnO3 est ferromagnétique ; mais plus on s’en éloigne, plus l’ordre antiferromagnétique (normalement caractéristique de ce matériau) augmente, et plus le ferromagnétisme faiblit. La possibilité de produire deux ordres magnétiques au sein du même matériau pourrait avoir des retombées importantes pour la technologie.
Les connaissances pour demain en provenance des « cellules chaudes »
Des mesures de sécurité strictes encadrent la manipulation et l’analyse d’objets irradiés, et donc radioactifs, provenant de centrales nucléaires ou de laboratoires de recherche. Ces tests ne peuvent être conduits que dans des enceintes baptisées « cellules chaudes », dont les parois de béton et de plomb de plusieurs mètres d’épaisseur. Dans les cellules chaudes du Laboratoire chaud du PSI, des barreaux de combustibles usés provenant des centrales nucléaires suisses sont régulièrement soumis à une analyse scientifique des matériaux. Les connaissances obtenues dans le cadre de ces analyses permettent aux exploitants d’optimiser l’efficacité et la sécurité de leurs centrales. A côté de ces prestations de service destinées aux centrales nucléaires, le Laboratoire chaud est également impliqué dans des projets de recherche internationaux.
Weltmeister aus dem PSI
Silvan Melchior, Elektronik-Lernender vom PSI, hat bei der Weltmeisterschaft der Berufslernenden in Leipzig die Goldmedaille in seinem Fachgebiet gewonnen. Insgesamt sind in dem Fach 16 Lernende aus 16 Ländern angetreten. Insgesamt hat das Schweizer Team mit neun Gold-, drei Silber-, fünf Bronzemedaillen sowie 18 Diplomen den zweiten Gesamtplatz hinter Korea belegt.Cette actualité n'existe qu'en allemand.
La première pierre du grand instrument de recherche SwissFEL a été posée
Le 3 juillet 2013, le PSI a solennellement posé la première pierre de son grand instrument de recherche SwissFEL, marquant ainsi la continuation de 25 ans de succès dans la recherche au PSI.
L’endroit le plus propre de l’Institut Paul Scherrer
Les salles blanches de l’Institut Paul Scherrer (PSI) abritent des processus hypersensibles. Un seul grain de poussière au mauvais endroit pourrait avoir des conséquences fatales. Plongée dans les coulisses de ces espaces où, propreté oblige, même les crayons sont interdits.
Pas une gouttelette de trop
Dans de nombreux processus techniques, la mise à disposition d’un mélange gaz-vapeur joue un rôle décisif. On réduit par exemple les émissions d’oxydes d’azote, en saturant fortement en humidité le mélange gazeux issu de la combustion du diesel. L’invention d’un chercheur de l’Institut Paul Scherrer (PSI) va permettre, à l’avenir, de réaliser de manière industrielle cette mise à dispotion d’un mélange gaz-vapeur, grâce à une technique simple, flexible et robuste.
PSI inside
« La découverte du boson de Higgs » a été relayée dans tous les médias début juillet 2012. Aux yeux de Roland Horisberger, physicien des particules au PSI, cette annonce était prématurée : « Il faudra certainement compter encore cinq ans avant que l’on puisse affirmer avec certitude que le boson de Higgs a bel et bien été découvert, souligne-t-il. Quelle que soit l’issue de cette quête à qu’il s’agisse du boson de Higgs, ou d’une particule « semblable au boson de Higgs », telle qu’elle est décrite dans certaines théories à les résultats pourront être estampillés en grandes lettres « PSI inside ».
Des neutrons rapides pour plus de sécurité
Les neutrons sont un instrument remarquable pour reproduire visuellement l’intérieur des objets sans les détruire. Ils représentent un complément à la radiographie aux rayons X, à laquelle on recourt le plus souvent.Toutefois, la radiographie neutronique reste cantonnée, la plupart du temps, aux laboratoires ou à certains sites de recherche fixes, car la production de neutrons nécessite des machines complexes, coûteuses et intransportables.Des chercheurs de l’Institut Paul Scherrer (PSI) cherchent à corriger la donne, avec une technique d’imagerie plus flexible basée sur des neutrons rapides.
ecoinvent – La base de données leader mondial des analyses de cycle de vie lance sa version 3.0
La base des données des inventaires environnementaux, ecoinvent, constitue le fondement des projets d’analyses de cycle de vie, décoconception ou des informations environnementales sur les produits. Depuis 2003, les entreprises, les politiques et les consommateurs ont, grâce à ecoinvent, la possibilité de fournir des produits davantage en harmonie avec l’environnement, de mettre en uvre de nouvelles politiques ou d’adopter une attitude de consommation plus écologique. La nouvelle version 3.0 représente un jalon supplémentaire de l’analyse du cycle de vie: de nouvelles données mises à jour, notamment dans les domaines de la production chimique, des denrées alimentaires et des légumes, ainsi que dans celui de l’électricité offrent plus de possibilités d’application aux utilisateurs decoinvent.
Incinération des déchets : la panacée, vraiment ?
Autrefois, les déchets ménagers finissaient tous, sans exception, dans des décharges, et ce sans avoir subi le moindre traitement en amont. Conséquence de cette pratique : le site de la décharge finissait souvent par devenir une « zone écologiquement morte ». L’incinération municipale des déchets a quelque peu désamorcé le problème : c’est en effet uniquement grâce à elle et au recyclage, que la surface occupée par les décharges a pu être contenue au cours des dernières décennies, en dépit de l’augmentation globale des quantités de déchets. Toutefois, l’incinération des déchets est loin d’être la panacée. Certains produits de l’incinération, soit ceux qui étaient déjà presents dans les produits incinérés ou ceux qui provient de l’incinéreation elle-même et qui sont dommageables pour la santé et l’environnement, finissent en effet dans des décharges, en dépit de leur passage par les usines d’incinération.
Des expériences en quelques millionièmes de secondes
Les muons sont des particules élémentaires instables, qui permettent aux chercheurs d’étudier la structure de la matière. Ils leur fournissent des informations sur les processus qui se jouent au cur de certains matériaux modernes, sur les propriétés des particules élémentaires et sur les structures fondamentales du monde physique. De nombreuses expériences utilisant des muons ne sont possibles qu’à l’Institut Paul Scherrer, car le PSI dispose de faisceaux de muons particulièrement intenses.
Qualité de l’air de Paris : la métropole vaut mieux que sa réputation
Dans l’opinion publique, les métropoles sont souvent perçues comme d’importantes sources de pollution atmosphérique à aussi de leur périphérie à. Pourtant, selon les dernières études, ces villes de plusieurs millions d’habitants s’en sortent plutôt bien, au niveau écologique. Sur la base de mesures des aérosols réalisées à Paris, une équipe internationale de chercheurs, incluant des membres de l’Institut Paul Scherrer (PSI), confirme que les métropoles postindustrielles influencent beaucoup moins la qualité de l’air de leur environnement proche qu’on ne l’imagine.
Collectionneur d'idées d'expériences
Le laser à rayons X SwissFEL devrait offrir aux chercheurs la possibilité de mener des expériences novatrices, et de tirer des enseignements importants pour leurs domaines de spécialité. Mais comment savoir qui sont les chercheurs susceptibles de tirer profit de cet instrument, quelles sont les interrogations que l’on pourra y explorer, et quels seront les équipements nécessaires pour que cet instrument puisse être exploité au mieux ? Réponses avec Bruce Patterson, le collectionneur d’idées d’expériences. Cet entretien a paru en allemand dans la dernière édition du magazine du PSI « Fenster zur Forschung ».
De minuscules aimants comme système modèle
Des scientifiques utilisent des nanobâtonnets pour étudier la manière dont s’ordonne la matièrePour rendre ces interactions entre les atomes visibles, des chercheurs de l’Institut Paul Scherrer (PSI) ont développé un système modèle bien particulier. Il est assez grand pour être observé au microscope à rayons X, tout en imitant les plus petits mouvements qui existent dans la nature. Le modèle se présente comme suit : des anneaux faits chacun de six bâtonnets magnétiques, longs de quelques nanomètres, où le pôle nord du premier bâtonnet attire le pôle sud du suivant, et ainsi de suite. A température ambiante, les directions de magnétisation de chacun des bâtonnets fluctuent sans cesse, et ce de façon naturelle. Les scientifiques ont réussi à observer en temps réel ces interactions magnétiques entre les bâtonnets.
Alternativ-Routen für Velofahrer und Fussgänger
Durch die Bauarbeiten für den SwissFEL kommt es im Würenlinger Wald zu Sperrungen und Umleitungen. Alternativ-Routen für Velofahrer und Fussgänger werden angeboten.Cette actualité n'existe qu'en allemand.
Stockage d’énergie : un dispositif de carbone ultramince
En 2010, deux physiciens d’origine russe se sont vu décerner le prix Nobel pour la découverte et la caractérisation du graphène : un matériau d’épaisseur monoatomique, composé d’une seule couche de carbone. Leur découverte a fait grand bruit, car à maints égards, le graphène est un matériau exceptionnel. Depuis qu’il a été isolé pour la première fois, les scientifiques du monde entier se sont donc jetés dessus, en quête d’applications. Des chercheurs de l’Institut Paul Scherrer (PSI) on a présent élaboré les fondements d’un supercondensateur à base de graphène. Ce dernier pourrait contribuer, par exemple, à allonger notablement la durée de vie des batteries des voitures hybrides.
Les travaux démarrent dans la forêt de Würenlingen
Les travaux de construction du SwissFEL ont démarré, dans la forêt de Würenlingen. Les 18 prochains mois verront s’ériger le bâtiment destiné à accueillir le nouveau grand instrument de l’Institut Paul Scherrer PSI.
Travaux de recherche avec SwissFEL: étude des matériaux magnétiques
Dans le domaine des technologies modernes les matériaux à caractéritiques magnétiques spécifiques jouent un rôle important à par exemple les disques durs sur lesquels sont stockés les informations de l’ordinateur . Les travaux de recherche sur SwissFEL contriburont au développement de nouveaux matériaux magnétiques et permettront d’observer en ‚live’ les transformations rapides qu’ils subissent. Ainsi il sera possible d’observer ce qui se passe à l’intérieur d’un disque lorqu’on modifie le contenu d’une mémoire .
Germanium – zum Leuchten gezogen
Forscher des PSI und der ETH Zürich haben mit Kollegen vom Politecnico di Milano in der aktuellen Ausgabe der wissenschaftlichen Fachzeitschrift "Nature Photonics" eine Methode erarbeitet, einen Laser zu entwickeln, der schon bald in den neuesten Computern eingesetzt werden könnte. Damit könnte die Geschwindigkeit, mit der einzelne Prozessorkerne im Chip miteinander kommunizieren, drastisch erhöht werden. So würde die Leistung der Rechner weiter steigen.Cette actualité n'existe qu'en allemand.