Vous trouverez ici, par ordre chronologique, des informations complémentaires sur le thème de la protonthérapie au CPT de PSI.
Individualiser quotidiennement l’irradiation de la tumeur
Une étude de faisabilité du PSI montre que même dans le quotidien clinique, il est possible d’adapter chaque jour le plan de traitement. De cette manière, la tumeur est toujours irradiée précisément avec la bonne dose.
Guérir ensemble les enfants cancéreux
L’étroite collaboration entre le PSI et l’Hôpital universitaire pédiatrique de Zurich a débuté il y a 20 ans, pour le bénéfice des enfants souffrant du cancer.
40 ans de succès: le traitement par protons du cancer de l’œil
En mars 1984, des patients étaient traités par protons pour la première fois contre un type de cancer rare mais très agressif: une tumeur oculaire.
Permettre une détection précoce du cancer
Des scientifiques au PSI mettent au point une méthode radicalement nouvelle de dépistage précoce du cancer.
A more efficient degrader for proton therapy
At PSI’s Center for Proton Therapy (CPT), protons are used to treat cancerous tumours in a highly targeted way that spares healthy tissue as much as possible. This is the result of the characteristic way in which charged particles interact with matter, so that a beam of protons deposits most of its energy at a certain depth in a material depending on the energy and the composition of the material. The dedicated medical cyclotron COMET accelerates protons to an energy of 250 MeV, which then have to be "slowed down" so that the energy matches the depth of the tumour to be treated.
Première: des protons contre le cancer de l’œsophage
Le 15 août 2023, un patient atteint d’un cancer de l’œsophage a été traité avec des protons. Une première en Suisse.
Ce que les protons ont rendu possible
Cette galerie présente cinq personnes qui ont été traitées au Centre de protonthérapie du PSI.
Protonthérapie: une histoire à succès qui a débuté il y a 25 ans
Le 25 novembre 1996, le Centre de protonthérapie du PSI a pour la première fois traité un patient cancéreux au moyen de la technique du spot scanning, une première mondiale.
Première: protonthérapie contre le cancer du poumon
Première à l’Institut Paul Scherrer PSI: le 9 novembre 2021, une patiente atteint d’un cancer du poumon a été irradiée avec des protons.
«Notre objectif, à terme, est de comprendre comment des maladies se déclarent dans les cellules individuelles»
Les techniques modernes d’imagerie et de séquençages, combinées à l’apprentissage automatique, offrent d’innombrables possibilités inédites aux chercheurs pour scruter l’intérieur des cellules avec une précision jamais vue jusqu’ici. G.V. Shivashankar, directeur d’un laboratoire au PSI, décrit comment les données peuvent être combinées pour trouver des réponses à certaines questions urgentes.
Nouvelle méthode ultrarapide de traitement du cancer
Des chercheurs au Centre de protonthérapie du PSI ont testé pour la première fois une irradiation protonique ultrarapide et fortement dosée. Cette nouvelle méthode FLASH expérimentale pourrait révolutionner le traitement du cancer par radiothérapie.
Feu à volonté sur les tumeurs
Dans les stations de traitement du Centre de protonthérapie du PSI, les tumeurs peuvent être irradiées avec précision depuis toutes les directions. Un graphique interactif explique comment les protons atteignent le corps à partir de leur source pour déclencher l'ablation du tissu tumoral.
«Il est important de poursuivre les recherches»
La protonthérapie est complexe et plus coûteuse que la radiothérapie conventionnelle, mais sa précision reste inégalée lorsqu’il s’agit de traiter des tumeurs. An interview avec Damien Weber, directeur du Centre de protonthérapie (CPT).
Bombarder les cellules cancéreuses
A l’Institut Paul Scherrer PSI, on administre un traitement unique en Suisse à certains patients cancéreux. Bombarder les tumeurs de protons permet de les éliminer, et ce avec plus de précision qu’aucune autre forme d’irradiation.
Sa passion, ce sont les enfants
Beate Timmermann a mis en place, au PSI, un programme de protonthérapie pour enfants cancéreux, tout en élevant son fils. Aujourd'hui, elle dirige le Centre d'hadronthérapie au centre oncologique allemand Westdeutsches Protonentherapiezentrum (WPE) d'Essen. Elle est considérée comme l'une des meilleures expertes de ce domaine.
Inauguration: technologie de pointe contre le cancer
La protonthérapie permet d'irradier certaines tumeurs de manière particulièrement précise, tout en ménageant de manière optimale les tissus sains environnants. En Suisse, ce type d'irradiation n'est possible qu'au PSI. Dans le cadre d'un projet commun avec l'Hôpital universitaire de Zurich et l'Université de Zurich, le PSI a élargi ses capacités avec une station de traitement ultramoderne de 270 tonnes: la nouvelle Gantry 3.
Lausanne-Villigen: un aller-retour très spécial
Nulle part ailleurs on n’a irradié autant de tumeurs oculaires avec des protons qu’au PSI. Mais avant de se rendre à Villigen, les patients qui se préparent à recevoir ce traitement doivent passer chez Ann Schalenbourg, à l’Hôpital ophtalmique Jules-Gonin de Lausanne. La collaboration entre l’hôpital et le PSI existe depuis plus de trente ans. Elle est unique au monde et permet à la plupart des malades de sauver leur œil atteint.
Tester les limites pour le bien du patient
La protonthérapie est un produit à succès de l’Institut Paul Scherrer PSI. Les chercheurs s’efforcent toutefois sans relâche de rendre le traitement encore plus rapide et sûr.
Une grande aide pour les petits enfants
Quand des enfants en bas âge sont atteints d’un cancer, c’est un déchirement pour toute leur famille. Les collaborateurs du Centre de protonthérapie à l’Institut Paul Scherrer PSI tentent d’aider ces enfants grâce à l’irradiation ciblée avec des protons et en les assistants avec bienveillance.
Maîtriser la sécurité
Les faisceaux de protons peuvent soigner le cancer, mais aussi endommager des tissus sains. Pour éviter que cela n’arrive, plus de 350 tests de sécurité sont menés chaque année au Centre de protonthérapie du PSI. Le bilan est plus que satisfaisant: plusieurs milliers de patients ont été irradiées avec des protons ici, à Villigen, sans qu’un seul accident ne se produise.
Lueurs d'espoir pour les patients
Depuis plus de 30 ans, des patients atteints d’un certain type de tumeur oculaire sont traités au PSI par irradiation avec des protons. Ces minuscules particules atteignent leur cible avec une précision de l’ordre du millimètre, sans mettre en danger d’autres structures de l’œil. La station d’irradiation OPTIS du Centre de protonthérapie du PSI a été développée en interne à l’institut. Une véritable success story, car chez plus de 90% des patients traités jusqu’ici, l’œil atteint a pu être sauvé.
Plus-value pour les malades du cancer
A l’Institut Paul Scherrer PSI, les malades du cancer reçoivent un traitement unique en Suisse: la protonthérapie. Il s’agit de la forme la plus moderne d’un type de radiothérapie anticancéreuse et, par rapport à l’irradiation conventionnelle, elle présente des avantages importants en termes d’efficacité et d’effets secondaires. Le Centre de protonthérapie au PSI est entièrement dédié à ce traitement spécial. Son travail pionnier a permis d’aider plusieurs milliers de patients, mais aussi de transformer radicalement la protonthérapie, et ce à l’échelle internationale.
De retour dans la vie
Derrière l'œil de Gabi Meier, les médecins avaient découvert une tumeur qui ceignait son nerf optique. Seul le PSI offrait encore une possibilité de la traiter tout en ménageant l'œil et les structures voisines. Quelques mois après la fin de la protonthérapie, j’ai remarqué que je voyais de plus en plus. Certes, c’était toujours vague, mais je voyais! C’était sensationnel, raconte-t-elle en entretien.
La lutte de haute précision contre le cancer a 20 ans
Le 25 novembre 1996, en première mondiale, un patient cancéreux était traité à l’Institut Paul Scherrer PSI au moyen d’un nouveau procédé d’irradiation: la technique dite Spot Scan pour faisceaux de protons. Sa particularité: le faisceau agit uniquement en profondeur, là où se trouve la tumeur; le tissu sain qui se trouve devant et derrière la tumeur, lui, est ménagé. A l’époque, cette méthode développée par des chercheurs du PSI représentait une percée dans le domaine de la radiothérapie et, en tant que produit, elle n’a pas tardé à remporter un grand succès.