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Tag der offenen SwissFEL-Baustelle
Vergangenen Sonntag luden das Paul Scherrer Institut PSI und die Arbeitsgemeinschaft EquiFEL Suisse die Einwohnerinnen und Einwohner der Umgebung zum Tag der offenen SwissFEL-Baustelle ein. Rund 600 Interessierte informierten sich an mehreren Stationen über den aktuellen Bau- und Projektstand.Cette actualité n'existe qu'en allemand.
Première: visualiser la glace dans les piles à combustible
A l’aide d’une méthode novatrice, des chercheurs de l’Institut Paul Scherrer (PSI) ont réussi une première : visualiser directement la répartition de la glace et de l’eau liquide dans une pile à combustible à hydrogène. Pour distinguer de manière très fiable les zones où se trouve de l’eau liquide de celles où se trouve de la glace, cette nouvelle technique d’imagerie utilise successivement deux faisceaux de neutrons, dotés chacun d’une énergie différente. La méthode ouvre ainsi une perspective : la possibilité d’analyser l’un des principaux problèmes lié à l’utilisation de piles à combustible pour la propulsion de véhicules. La glace peut en effet boucher les pores dans les piles, et ainsi entraver leur fonctionnement. Les scientifiques du PSI ont publié leurs résultats le 16 juin 2014, dans la revue «Physical Review Letters».
16 nanomètres en 3D
Des chercheurs de l’Institut Paul Scherrer (PSI) ont développé un procédé qui permet à l’imagerie tomographique d’accéder à de nouveaux ordres de grandeur. Il sera ainsi possible à l’avenir de générer, par exemple, des images plus détaillées de tissu biologique. A l’aide d’un dispositif de mesure spécialement conçu à cet effet et installé à la Source de Lumière Suisse (SLS), les chercheurs ont réussi à obtenir une résolution de 16 nanomètres avec un échantillon de grande taille, et ont réalisé un record du monde par la même occasion.
Le bricoleur de feu d’artifices devenu chercheur spécialiste des accumulateurs
Portrait de Patrick Lanz, doctorant au PSIPatrick Lenz a découvert sa fascination pour l’univers de la science et de la technique alors qu’il était encore écolier. Son père était électrotechnicien et possédait donc à la maison un assortiment bien fourni de composants électroniques. Mais le jeune Patrick ne se contentait pas de jouer avec ses voitures télécommandées, il démontait systématiquement ses jouets, à la recherche d’explications pour comprendre leur mode de fonctionnement. Plus tard, Patrick Lenz s’est mis aussi à démonter de petites piles, parce qu’il voulait comprendre « ce qui se passait à l’intérieur ». Il a peut-être accompli à cette époque le premier pas vers son travail actuel : chercheur spécialiste des accumulateurs.
Une polymécanicienne toujours en mouvement
Rebekka Liefert termine cette année ses quatre ans d’apprentissage de polymécanicienne. Elle a été particulièrement séduite par le fait qu’au PSI, on ne construit pratiquement que des prototypes. Car les composants pour les installations de recherche sont dans la plupart des cas des pièces uniques. La fabrication en série ne serait pas vraiment sa tasse de thé, reconnaît Rebekka Liefert : elle a trop tendance à vite s’ennuyer. Je suis incapable de rester assise dans un coin, avoue-t-elle en riant. L’alternance qui règne ici me convient donc parfaitement.