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Klimaforschung am Teilchenbeschleuniger: Beschreibung der Aerosolneubildung muss revidiert werden
Vom Menschen verursachte Aerosole wirken in der Atmosphäre kühlend: Klimaforscher nehmen an, dass sie einen Grossteil des anthropogenen Treibhauseffekts kompensieren. Allerdings müssen sich die Partikel zum Teil in der Atmosphäre erst neu bilden. Diesen bisher kaum untersuchten Prozess nimmt das CLOUD-Experiment am CERN, an dem auch Forscher des Paul Scherrer Instituts beteiligt sind, unter die Lupe. Dabei wurde erstmals ein Teilchenbeschleuniger für die Untersuchung von Vorgängen in der Atmosphäre eingesetzt. Die Ergebnisse zeigen: die Beschreibungen der Aerosolbildung in Klimamodellen muss revidiert werden.Cette actualité n'existe qu'en allemand.
Décision prise pour le site du SwissFEL
L’Institut Paul Scherrer a franchi une nouvelle étape importante vers la réalisation de sa nouvelle grande installation de recherche.Aujourd’hui, le Grand Conseil du canton d’Argovie a donné son accord pour l’adaptation du plan directeur pour le secteur d’agglomérations de Würenlingen, ainsi que pour l’adaptation du plan d’occupation relatif à la zone de protection des eaux souterraines qui s’y trouve. L’Institut Paul Scherrer PSI se réjouit de cette importante décision sur la voie de la réalisation de sa nouvelle grande installation de recherche SwissFEL (laser à rayons X suisse à électrons libres).
Unseren frühen Vorfahren in den Kopf (und in die Nase) geschaut
Der Umbau des Gehirns und der Sinnesorgane dürfte den Erfolg der Wirbeltiere, eines der grossen Rätsel der Evolutionsbiologie, erklären à so die Aussage einer Arbeit, die heute im Wissenschaftsjournal Nature erschienen ist. Die Forschenden konnten das Rätsel durch Untersuchungen des Gehirns eines 400 Millionen Jahre alten versteinerten Fisches à eines evolutionären Bindeglieds zwischen den heute lebenden kiefertragenden Wirbeltieren und den Kieferlosen.Cette actualité n'existe qu'en anglais et allemand.
Expérimentation d’une nouvelle méthode pour le dépistage du cancer dans les tissus mammaires
L’Institut Paul Scherrer PSI a développé une nouvelle méthode pour le diagnostic du cancer du sein et a réalisé pour la première fois, en collaboration avec l’hôpital cantonal de Baden AG, des tests sur des tissus humains non conservés. Cette nouvelle méthode permet de révéler des structures invisibles par les techniques de mammographie traditionnelle. Les scientifiques du département de recherche de l’entreprise Philips étudient actuellement l’utilisation de ce procédé dans la pratique médicale.